Les critères de sélection d’une assurance-vie

Choisir une assurance vie requiert une attention particulière. Une assurance vie également appelée assurance sur la vie désigne un investissement permettant à épargner de l’argent en cas d’exposition de risque lie à la vie de l’assure. Il s’agit de convention d’épargne laquelle l’assure peut bénéficier d’une d’un allègement fiscal, d’une possibilité de modification de son capital en rente viagère ou tout simplement en versement du capital. Un produit important lequel bon nombre de gens se voient intéressé d’y souscrire, mais méconnaît prédispositions avant de s’engager dedans. Cette idée fut créée en France en 1787, mais il a fallu attendre un texte réglementaire en l’année 1818 pour autoriser durablement cette pratique.

Les bienfaits d’une assurance vie

Tout d’abord, l’assurance vie permet un produit d’épargne. Celle-ci n’est pas limitée aux actions. Le patrimoine s’évolue annuellement. Une exonération d’imposition sur le revenu est envisageable après huit années de ladite assurance. Car on tient compte de l’âge du contrat et non la date des sommes investies. Ensuite, elle fait l’objet d’un allègement fiscal. Elle offre une réduction particulière pour la transmission du patrimoine. Une fiscalité qui est fonction de l’âge de l’assuré-vie lors du versement de la rémunération (prime ou cotisation). Une fiscalité qui est soumise au barème progressif de l’imposition sur le revenu après déduction fiscale autorisée pour réduire l’assiette servant de base pour le calcul du montant de l’imposition. Par ailleurs, à qui profite-t-elle ? Grâce aux clauses bénéficiaires (nominative ou non nominative) incluses dans le contrat d’assurance vie : le ou la conjoint(e) s’est remarié(e) après un divorce avant ou lors du décès de l’assuré. A défaut de remariage du conjoint(e) après divorce ou décès de l’assuré, le bénéficiaire de l’assurance sera transmis aux enfants à part équitables. Celui ou celle qui bénéficiera de la clause bénéficiaire nominative serait le ou la concubin(e). Il est également possible pour l’assuré de préciser un transmissible de son choix dans ce dernier cas. Enfin, la différence entre transmissions par assurance vie et celle par succession sont claires. Nul héritier ne peut invoquer un droit de priorité ou droit automatique pour la transmission de l’assurance vie s’il n’y est pas mentionné expressément comme bénéficiaire. Toutefois, les sommes versées par le décès d’un septuagénaire sont soumises à la succession.

Assurance vie par rapport assurance maladie, assurance incendie, assurance-décès

Le placement financier en assurance vie est toujours disponible, car il est toujours possible de faire des retraits d’argents à tout moment voulu. Celle-ci n’est pas comparable à l’assurance-décès qui consiste en un produit de prévoyance. L’assurance vie n’est pas incluse dans la succession. Aucune déclaration n’est obligatoire tant que vous ne sortez pas de liquidités relatives à votre assurance vie. Elle n’exige pas de seuil minimal ou maximum pour disposer de plusieurs assurances vie. Elle n’est de nature discriminatoire et n’aura aucun risque lie à la perte de capital à la limite de l’usage du mandat de gestion offensif.

Les critères de sélection d’une assurance vie

Tout d’abord, celui qui se prétend s’engager dans ce contrat doit profiter du favoritisme fiscal. Elle permet de réaliser des arbitrages  et est exempte de prélèvement fiscal et social. Des prélèvements payables en cas de retraite ou en cas de fin contrat. Ensuite, comment s’engager avec un assureur fiable ? Cela tient compte du rendement du fonds. Les assureurs prélèvent divers  types de frais liés aux contrats d’assurance vie. Signer un contrat d’assurance vie ne requiert pas de plafond de frais. Optez pour celle qui peut gérer le contrat avec un moindre prélèvement annuellement. Idem pour celle qui prend en compte les frais d’arbitrage taxés à chaque transfert de somme vers une autre. Tels les frais d’entrée, les frais de rachat, les frais de gestion, les frais d’arbitrage. De plus, les supports en unité monétaire de compte consistent en les assureurs à privilégier le rendement. Ceux-ci reposent sur des obligations, des immobiliers ou les actions. Plus le nombre et la qualité des supports augmentent, plus les possibilités de diversifications ne s’accroissent pas. En outre, les types de contrats recommandés sont soit ceux mono-support ou multi-supports. Pour le premier cas, il consiste à placer son épargne en l’absence de risque.  Et le capital est sécurisé, car le contrat nécessite un compte épargne. Pour le second cas, les fonds permettent d’investir dans divers actifs (obligations, actions, immobiliers…)  à risques. Enfin, on doit opter pour une assurance préparatoire pour la retraite. Car les produits dédiés imposent des fonds immobilisés à la prévoyance. A la retraite, l’assuré profite des rentes viagères et est exempt d’imposition sur le revenu.  
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